Il a passé la fin de sa vie sur son fauteuil roulant, Fanfan à ses pieds. Tout un chacun s’arrêtait pour une petite bavette. Le départ de sa Colette l’avait profondément affecté. Un taux de sucre trop élevé lui causait ses soucis de santé.
Chaque jour, Thomas, Fabien, Sylvain et Flore, ses infirmiers, lui permettaient de rester à domicile. Virginie était sa gouvernante. Louis, son complice, venait chaque jour lui raconter les dernières du bourg, ou le dernier sanglier de la battue du dimanche.
Il nous a quitté subitement un 17 novembre dans l’ambulance des pompiers, et son état a nécessité un transfert sur Limoges où il a rejoint sa Colette.
La famille a préféré l’intimité dans le recueillement de la mise en terre.
Tous ses amis de la commune et des alentours, ainsi que ses camarades des anciens d’Algérie se joignent à la page présente pour lui souhaiter un repos éternel.